Patrick Seabase rides the Pico del Veleta, Sierra Nevada, Spain on October 28th, 2017.
© Phil Gale/Red Bull Content Pool
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7 choses que vous entendrez dans Decoding Athletes avec Patrick Seabase

Le cycliste suisse Patrick Seabase raconte ce qu’il a vécu quand il s’est attaqué aux cols de montagne les plus excitants qui soient sur son fidèle vélo à pignon fixe.
Écrit par Ian Chadband
Temps de lecture estimé : 3 minutesPublié le
Dans le dernier épisode du Decoding Athletes podcast, l’animateur Matthias Dandois parle avec le cycliste Patrick Seabase non seulement de comment on aborde les grandes montagnes de la planète sur un vélo sans freins et à une seule vitesse, mais encore de son amour pour tout un tas de choses, depuis la poésie jusqu’au boulangeries vegan et aux tatouages rock 'n' roll.

1. « Je vais quelque part, je pédale sur mon vélo, j’enregistre ça sous forme de film que je sors. Et c’est tout. »

Seabase laisse entendre que sa vie est vraiment toute simple et estime que ses aventures photogéniques signifient qu’il « fait quelque chose de très égoïste », mais après ça il explique qu’en fait, il a l’impression d’inspirer les autres.

2. « Si je m’étais rendu compte de la vitesse à laquelle j’allais, je me serais probablement crashé. »

Seabase raconte comment il est un jour allé à 96 km/h sur son fidèle pignon fixe en dévalant le col du Simplon dans les Alpes suisses. Il admet cependant que ce n’était rien par rapport à la vitesse hallucinante atteinte en poursuivant un camion sur une autoroute hawaïenne.

3. « Je me souviens, quand je l’ai vu à San Francisco je me suis dit ‘Oh, qu’il est beau ! »

Le coup de foudre ! Seabase retrace sa relation et son affection pour le vélo à pignon fixe et explique avec beaucoup de cœur comment lui et ses machines ont atteint l’harmonie parfaite.
Dévaler les cols de montagne sans freins demande de sérieuses aptitudes.

Dévaler les cols de montagne sans freins demande de sérieuses aptitudes.

© Phil Gale/Red Bull Content Pool

4. « Je m’entraîne parce que je veux gravir une montagne sans avoir l’air d’un sac de patates. Je n’aime pas avoir l’air nul sur un vélo. »

Pour lui, aller vite, ça ne lui suffit pas ; le style est tout aussi important pour Seabase que la vitesse, un thème qu’il développe lorsqu’il révèle son amour des belles choses de la vie.

5. « Ce qui est sûr, c’est que ça ne m’inspire pas vraiment. Désolé, mais non. »

L’un des meilleurs amis de Seabase est le grand champion cycliste suisse Fabian Cancellara qui a remporté un bon nombre d’étapes de la plus grande course cycliste du monde. Mais dans le podcast, il explique pourquoi le Tour de France, ce n’est pas pour lui.

6. « Je ne pense pas que je me ferais tatouer maintenant parce qu’il y en a déjà partout! »

Seabase et Dandois ressemblent à des œuvres d’art ambulantes alors qu’ils discutent leur multitude de tatouages. Mais quand Seabase parle du groupe de rock qui a inspiré son premier emblème juste avant son 16e anniversaire, il semble un peu moins emballé aujourd’hui par le fait d’être un homme illustré.

7. « Il se passe de grandes choses quand hommes et montagnes se rencontrent. »

Assis dans la bibliothèque d’un hôtel de Berne, Seabase révèle son amour pour les livres, les paroles de chanson et la poésie de William Blake qui a écrit un vers qui l’a toujours inspiré.
Écoutez Decoding Athletes pour en savoir plus sur Patrick Seabase.

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Matthias Dandois

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